Cette fois c’est Youth for Climate qui a apporté son aide à la cause ouïghoure. Avec son mouvement d’étiquetage de produits vendus par des marques qui profitent du travail forcé ouïghour, ils ont sensibilisé les consommateurs aux implications de leurs achats. Si les marques ne prennent pas leurs responsabilités d’elles-mêmes, et que les gouvernements ne font rien pour interdire les produits issus du travail forcé, il en revient aux consommateur-rice-s de faire des choix plus justes.
Zara fait partie des marques qui ont nié toutes les accusations de travail forcé et sont maintenant poursuivis en justice par l’IODE, Sherpa, le Collectif Ethique sur l’étiquette et une rescapée des camps pour « recel de crimes contre l’humanité ».